Premiers contacts avec la mission
C’est dans un joyeux désordre familial que nous commençons vraiment notre mission, ce qui apporte beaucoup de sens à nos efforts.
Camille a déjà attaqué les visites de programmes dans les environs de Phnom Penh, visite d’un village des environs de Phnom Penh, inondé en cette période de mousson, par la montée du Mékong. Confrontation avec la réalité, et changement de regard : alors que le lendemain Antoine s’amusait d’une énorme averse (elles sont intenses et assourdissantes !), Camille repensait aux familles visitées la veille. Forcément, on voit la pluie sous un autre angle (même si ca reste étonnant et amusant de regarder pleuvoir des cordes pour de vrai !)
Antoine a directement attaqué avec un bilan financier de mi-année à boucler d’urgence, et 2 jours de conseil de classe, un conseil de discipline et pas mal d’autres sujets pressants. Certes, les semaines du mois de Mai ont permis de prendre un certain nombre de repères, mais il faut vite retrouver ses marques dans un métier qui n’est pas forcément le sien ! Et même pas une petite pelleteuse à vendre !
Les filles ont pu aussi participer à une distribution de parrainage. Tous les mois, les travailleurs sociaux vont visiter certaines écoles dans lesquelles des enfants sont parrainés. Occasion de rassembler la classe, de faire passer des messages (prévention), mais aussi de rappeler les « devoirs » des filleuls EDM (assiduité à l’école).
Elles sont parties avec Camille et les travailleurs sociaux (« TS »), en Tuk-tuk, dans un village à 1H de Phnom Penh, apporter l’argent, mais aussi les produits en nature pour aider les familles (une partie de l’aide est versée en argent pour les frais de scolarité, une partie en produits d’hygiène, ou produits alimentaires pour compenser l’absence de revenu généré par l’enfant qui va à l’école).
Et voilà nos aventurières parties à la rencontre d’une école bien vivante. Rencontre des élèves entassés dans une salle de classe, ambiance minimaliste, pour faire la distribution des denrées, puis séance jeux avec les enfants. Les 2 TS, vraiment à leur place, animent, mettent l’ambiance et dérident les enfants khmers un peu sauvages ou timides et les filles en profitent.
Elles rentreront de cette journée avec la tête pleine de souvenirs.
Camille a déjà attaqué les visites de programmes dans les environs de Phnom Penh, visite d’un village des environs de Phnom Penh, inondé en cette période de mousson, par la montée du Mékong. Confrontation avec la réalité, et changement de regard : alors que le lendemain Antoine s’amusait d’une énorme averse (elles sont intenses et assourdissantes !), Camille repensait aux familles visitées la veille. Forcément, on voit la pluie sous un autre angle (même si ca reste étonnant et amusant de regarder pleuvoir des cordes pour de vrai !)
Antoine a directement attaqué avec un bilan financier de mi-année à boucler d’urgence, et 2 jours de conseil de classe, un conseil de discipline et pas mal d’autres sujets pressants. Certes, les semaines du mois de Mai ont permis de prendre un certain nombre de repères, mais il faut vite retrouver ses marques dans un métier qui n’est pas forcément le sien ! Et même pas une petite pelleteuse à vendre !
Les filles ont pu aussi participer à une distribution de parrainage. Tous les mois, les travailleurs sociaux vont visiter certaines écoles dans lesquelles des enfants sont parrainés. Occasion de rassembler la classe, de faire passer des messages (prévention), mais aussi de rappeler les « devoirs » des filleuls EDM (assiduité à l’école).
Et voilà nos aventurières parties à la rencontre d’une école bien vivante. Rencontre des élèves entassés dans une salle de classe, ambiance minimaliste, pour faire la distribution des denrées, puis séance jeux avec les enfants. Les 2 TS, vraiment à leur place, animent, mettent l’ambiance et dérident les enfants khmers un peu sauvages ou timides et les filles en profitent.
Elles rentreront de cette journée avec la tête pleine de souvenirs.
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